Garder ses cheveux malgré la maladie :
le témoignage inspirant de Lucie

Quand on parle de cancer, on parle souvent de traitements, de parcours de soin, de guérison. Mais pour de nombreuses femmes, une réalité bien plus intime vient frapper très fort : la perte des cheveux. Et avec elle, le risque de perdre une part de son identité.

Lucie, elle, a choisi une autre voie. Celle du respect de soi, de ses choix capillaires, de son image. Et cette voie, c’est celle des Pas d’Chichi.

De la coupe courte aux cheveux longs et gris : un cheminement personnel

Après huit ans à porter les cheveux très courts et les teindre, Lucie prend une décision :

« J’ai décidé d’arrêter les colorations et de laisser mes cheveux pousser. Sous les encouragements de mon fils, j’ai opté pour des cheveux longs, bien que totalement gris. Et enfin, je me reconnaissais dans le miroir. »

Un choix fort, intime, à contre-courant des standards parfois imposés. Mais qui lui a permis de renouer avec elle-même.

Puis le diagnostic : « Madame, vous allez perdre vos cheveux. »

Le choc est violent. Lucie apprend qu’elle doit être traitée par chimiothérapie. Et avec les traitements, la perte des cheveux est inévitable.

« Et tout est à refaire...»

Mais cette fois, Lucie refuse de subir. Elle cherche une alternative. Une solution qui respecte son histoire capillaire, son identité, ses valeurs. Et c’est là qu’elle découvre Les Pas d’Chichi.

Une alternative naturelle à la perruque : la prothèse capillaire partielle

« Je savais que je n’aimerais pas porter une perruque synthétique, et je voulais conserver ces cheveux que j’avais mis deux ans à faire repousser ! »

Avec les Pas d’Chichi, Lucie a pu transformer ses cheveux en prothèse capillaire partielle : un bandeau ou une mèche confectionnée avec ses propres cheveux, associée à un turban doux et confortable.

« Je ne mets pas mon Pas d’Chichi tous les jours, pour des raisons pratiques, mais c’est d’autant plus réconfortant lorsque je décide de le mettre. Un peu comme on enfile une belle robe et que l’on se pomponne. »

Un geste simple, mais essentiel, pour se retrouver.

Se sentir soi, même pendant la maladie

Lucie est convaincue : ce qui rend son Pas d’Chichi si précieux, c’est qu’il est fait avec ses propres cheveux.

« C’est réconfortant car ce sont mes cheveux que j’enfile. Ils me permettent de me retrouver un peu comme j’étais il y a quelques mois. »

Et c’est précisément la mission des Pas d’Chichi : offrir aux femmes une solution humaine, douce, et personnalisée pour traverser cette étape sans perdre ce lien si fort à leur identité.